lundi 19 avril 2010

La NSK et les noms d'ancien

La NSK étant en réunion extraordinaire aujourd'hui et a annoncé son intention de réformer le règlement relatif à l'acquisition et à l'héritage des noms d'ancien afin de le rendre plus strict. Le nouveau règlement devrait être sitipulé lors de la réunion régulière des riji qui se tiendra après le Natsu basho.
Actuellement, outre les yokozuna et ôzeki, peuvent prendre un nom d'ancen les rikishi ayant été san'yaku au moins un tournoi ou makuuchi et/ou jûryô au moins 30 tournois. Sont pris en compte les résultats et la qualité des performances en tournois officiels mais aussi la contribution aux jungyô et autres manisfestations plus ou moins sportives comme le hanazumô, ainsi que la capacité à assumer le rôle de leader. Ces critères seront endurcis et l'attitude sur le dohyô et dans la vie privée sera également considérée. "A partir de maintenant on n'admettra plus quelqu'un simplement parce qu'il a les titres." a déclaré un de ceux qui ont participé à la réunion.

Source : Hochi

Dessine-moi un rikishi

La NSK a fait savoir aujourd'hui que dans le cadre de sa volonté de repopulariser le sumô auprès des enfants, un manga présentant l'histoire du sport national était en cours d'élaboration. L'ouvrage devrait être terminé d'ici septembre et sera distribué gratuitement au public de l'Aki basho.
C'est Ôyama oyakata (ancien makuuchi Daihi), qui enseigne depuis vingt-six ans au centre de formation du sumô, qui supervise alors que l'ancien rikishi sandanme Kototsurugi, dessinateur de son état, est en charge de l'illustration. Le livre s'intitulera "Histoire et culture du sumô" et il est prévu qu'il soit distribué également aux rikishi, avec une traduction dans leur langue maternelle pour ceux qui sont d'origine étrangère.
"Nous voulons expliquer de façon simple des choses comme la raison pour laquelle les rikishi font des shiko." a expliqué Ôyama oyakata. "C'est formidable pour améliorer l'implantation du sumô. Nous voulons faire comprendre, en particulier aux enfants, ce qu'est culturellement la voie du sumô (sumôdô) de notre pays." confirme Takanohana oyakata, directeur du centre de formation.

Source : Sanspo