mercredi 17 août 2011

Hakuhô, home sweet home

La belle vie selon
Hakuhô
Après deux mois loin des locaux tokyoïtes de la heya, le yokozuna Hakuhô a retrouvé ses marques. Juste après le Nagoya basho, il est rentré en Mongolie et s'est ensuite rendu à Tokushima, région natale de son épouse, où il a fait camp d'entraînement commun avec l'Ôshima-beya. Il est rentré à Tôkyô hier 16 août et a repris l'entraînement ce jour. Il s'est contenté d'un décrassage avant d'aller lancer quelques balles dans la rue avec les jeunes de la heya et de partager le chanko, qui lui a manqué. "J'avais envie du chanko de la heya. L'entraînement, quelques balles, le chanko, ça fait du bien." était-il ravi de reprendre une routine quelque peu oubliée depuis les scandales et la catastrophe du 11 mars.

Nikkan

Harumafuji, ambiance coréenne

Après six jours de repos et de retour à Tôkyô, Harumafuji a repris l'entraînement. Lors d'une séance qui a duré trois heures, il a affronté à 33 reprises Takarafuji et Homarefuji, n'étant battu que deux fois.
Il est totalement remis de sa blessure au pied droit de la semaine dernière et a d'autres soucis : "Ma blessure, ça va. Le problème c'est plutôt la chaleur.". La température dans la salle d'entraînement dépasse les 30° : "S'entraîner par cette chaleur, ce n'est pas raisonnable. On a la tête qui tourne.".
Il est néanmoins satisfait de ses congés. Cédant à la mode coréenne (kanryû/韓流) en vogue au Japon, il a regardé l'intégralité des 81 épisodes du drama historique coréen "Chumon/朱蒙" en DVD : "C'était intéressant, on en oublie de dormir. J'ai pu les regarder tranquillement.".

Harumafuji
Takarafuji-Harumafuji
Harumafuji
Takarafuji

Sanspo, Sponichi, Nikkan